• Les mystérieuses sphères du Costa Rica

    Dans les années 30, la « United Fruit Company » défriche de grandes étendues de terre, dans le delta du Diquis sur la côte pacifique du Costa Rica. A cette occasion, de nombreuses sphères de granite parfaitement sphériques et apparemment artificielles furent découvertes.

    De cette curiosité archéologique, il n’en fallait pas moins pour voir la preuve de l’intervention de races créatrices extraterrestres ou du monde d’Atlantide.

    Les véritables connaissances archéologiques de ce phénomène permettent d’avoir un éclairage légèrement différent quant aux mystérieuses sphères précolombiennes du Costa Rica.

    George Erickson, coauteur de « Atlantis in America : Navigators of the Ancient World » (1) présente les sphères en pierre du Costa Rica comme un grand mystère inexplicable : […] certaines mesurent 3m de diamètre et pèsent 30 tonnes. Beaucoup sont des sphères presque parfaites, et se sont avérées à moins de 2 millimètres d’une perfection sphérique absolue - un exploit technologique impossible jusqu'à l'invention du laser.

    Trois grandes sphères sont alignées en direction de l'île de Pâques - qui a sa propre collection de pierres sculptées - ce qui indique à l'évidence que ces objets sont de vieilles reliques, façonnées il y a plus de 12.000 ans, d'une culture antique, techniquement avancée, peut-être l’Atlantide…

    Il existe de par le Monde, un nombre étonnant de faits anciens, qui dans l'état actuel des connaissances, ne s'expliquent pas, comme par exemple, les murs cyclopéens de Bimini, découverts en 1969 dans les Bahamas, les fabuleuses cartes du monde de Piri Reis de 1513 et 1528, découvertes lors d'un inventaire le 9 novembre 1929 au musée de Topkapi à Istambul en Turquie, les surprenants tracés de la plaine de Nazca dans les Andes péruviennes, dont certains font près de 15 km de long. Mais les boules parfaites de granit d'une moyenne de 12 tonnes, découvertes dans les forêts du Costa Rica, représentent aussi jusqu'à, nouvel ordre, une fantastique énigme dont la science officielle aura bien du mal à trouver la solution.

    De par le monde, on découvre souvent disséminés au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières des objets de formes géométriques parfaites comme des oeufs, des cercles ou des sphères. On en a, par exemple, découvert des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio et le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, un gigantesque œuf de pierre de 100 m de long et 30 m de haut , couvert de symboles solaires et qui n'est pas, a dit cet archéologue, un "caprice de la nature", mais qui a nécessité un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes. Mais la véritable sensation archéologique, qui nous interpelle maintenant, nous dit le célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN dans son remarquable ouvrage "Retour aux étoiles" publié chez R. Laffont en 1971 ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322) , attend toujours d'être déchiffrée, dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.

    En effet au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées çà et là, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée parait-il (nous aimerions bien en voir une photo) pèse environ 30 tonnes.

    De par le monde, on découvre souvent disséminés au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières des objets de formes géométriques parfaites comme des oeufs, des cercles ou des sphères. On en a, par exemple, découvert des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio et le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, un gigantesque œuf de pierre de 100 m de long et 30 m de haut , couvert de symboles solaires et qui n'est pas, a dit cet archéologue, un "caprice de la nature", mais qui a nécessité un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes. Mais la véritable sensation archéologique, qui nous interpelle maintenant, nous dit le célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN dans son remarquable ouvrage "Retour aux étoiles" publié chez R. Laffont en 1971 ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322) , attend toujours d'être déchiffrée, dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.


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    Il y a 2000 ans, le temple de Jupiter, de 88 mètres par 48, fut érigé sur un podium de 13 mètres qui s'élèvait à 7 mètres au-dessus de la grande cour. Ces six colonnes hautes de 22 mètres sont tout ce qui en reste aujourd'hui.

    La première rangée de cette plateforme contient quelques-uns des plus gros blocs de pierre jamais transportés au monde. Chacun des trois premiers blocs sur cette photo a un poids estimé à 800 tonnes. Ils proviennent d'une carrière locale où se trouve encore le plus gros bloc de pierre jamais taillé mesurant 21,5 x 4,8 x 4,2 mètres et pesant environ 1 000 tonnes. 

    Seules six colonnes sont restées debout, les tremblements de terre et les destructions humaines, ayant bouleversé le site. On peut ainsi observer au sol la qualité sculpturale de ces ouvrages. En avant du temple, une immense cour de 135 m de long sur 113 de large, (au-dessus de souterrains) domine à 7 m de hauteur au dessus des environs ; deux grandes vasques rectangulaires faisaient office d'étang sacré ; tout autour de la cour, un péristyle richement ouvragé abritait des bancs de pierre face à des corniches sculptées. Plus à l'Est, une autre cour plus petite, hexagonale, au porche monumental de 60 mètres. En avant de cette cour, un propylée avec 12 colonnes, auquel on accède par un escalier monumental.

    Le second temple, faussement dit "de Bacchus" était sans doute consacré à Vénus, la déesse de l’Amour (Aphrodite, Astarté). Légèrement plus petit que celui de Jupiter (70 m de long sur 35 de large) est bien mieux conservé. Il est entouré d'un péristyle de 48 colonnes de 20 m de haut portant un entablement à frise de lions, taureaux, acanthes, richement sculptés.
    La porte d'entrée monumentale, 13 m de haut sur 7,5 de large, est finement ouvragée ; la nef aux colonnes cannelées engagées dans le mur ; la cella, le chœur, 27 m de long sur 22 de large ; l'adyton ou autel de la divinité, surélevé, en font un remarquable témoin archéologique de l’art religieux antique.

    Le troisième temple, plus petit, dit aujourd'hui "de Vénus" plus à l'Est est une merveille de goût et de finesse, une porte de 6 m de haut sur 3 de large, précédée d'un portique à double colonnade ; un chœur admirablement sculpté de guirlandes …

    On a perdu le savoir nécessaire à la construction de tels édifices !

    "Finalement, voici l'intérieur du temple de Bacchus où les Romains et leurs sujets tenaient l'équivalent de ce que nous appelons maintenant "des rave Party's".

    "Il est important de ne pas oublier que les distinctions entre le Liban, la Syrie, l'Irak et la Palestine n'ont été crées qu'au siecle dernier par des puissances coloniales étrangères.

    Tous ces peuples partagent entre eux une bien plus ancienne culture et d'histoire. En dépit de leurs différences superficielles, les Libanais, les Syriens et les Iraquiens savent bien que les Palestiniens sont leurs cousins..."

    Pour en savoir plus :

    Entre les deux chaînes de montagnes du Liban et de l'Anti-Liban, orientées nord-sud et parallèles à la côte orientale de la Méditérranée, s'est creusée une haute vallé d'effondrement, riche et fertile : la Békaa, devenue passage immémorial des caravanes nord-sud du Croissant fertile. Et en son centre géodésique le plus élevé, à 1200 m. d'altitude, lieu de partage des eaux de deux fleuves : le Nahr el Assi ou Oronte qui coule vers le nord et le Léontès ou Litani vers le sud, s'est constituée, autour d'une énorme source vauclusienne ; Ras el Aïn, une ville aux jardins prospères et abondamment arrosés, centre plurimillénaire de relais et d'échanges caravaniers, que son site particulièrement ensoleillé, a fait appeler Héliopolis (Hélios = soleil; polis = ville) au temps des grecs et que les habitants de la vallée appelaient, eux, Baalbek ("au Dieu de la Vallée")

    Ses peuples anciens, ici les Cananéens, étaient très religieux : cf. le prophète Malakiyah 1/10-14. Des temples avaient été édifiés là au Dieu El, appelé par la suite : Baal, c'est à dire : "le Maître" de la Terre et des Cieux (ef. Genèse 14/18-20). Lorsque les Grecs (Alexandre en 332 av. J.C.), puis les Romains (Pompée en 66 av. J.C.), eurent conquis "tout l'Orient" (le Mashrek), ils firent élever en ces lieux, au long des 1er, 2ème et 3ème siècle après J.C., un ensemble religieux grandiose, le plus grand de toute la Méditérranée, aux dieux de la triade sémitique : le Dieu El (devenu Baal, puis Jupiter), sa parèdre Ishtar ou Atargatis (devenue Vénus) et leur "enfant" Adoun (adonis en grec, devenu Mercure chez les Romains).

    Le temple le plus impressionnant, celui de Jupiter, 88 m de long sur 48 de large, était juché sur un immense soubassement de pierres et de terre à 13 m au dessus des sols ambiants et ceinturé d'un mur cyclopéen gigantesque de blocs de pierre de 10 m de long sur 4 et 5 d'équarrement. La cella ou choeur adossée à un trilithon, de trois énormes pierres barlongues de 20 m de long sur 4 et 5 d'équarrement (chacune environ 750 tonnes). Une quatrième, taillée de même, 20 m sur 4 et 5, se voit restée dans la carrière originelle. Le péristyle autour de la nef était de 54 colonnes dont 10 frontales, de 20 m de haut et 2.2 m de diamètre, en trois tambours ; elles portaient un entablement de 5 m de haut, corniche et frise de lions, de taureaux, d'acanthes, et modillons de perles (raisins) et d'oves (olives). Sauf 6 colonnes restées debout, les tremblements de terre et les destructions intéressées, ont tout renversé pêle-mêle, laissant voir le luxe sculptural inouï dont ces artistes religieux ou fins politiques avaient paré cet ouvrage.

    En avant du temple, une immense cour de 135 m de long sur 113 de large, au-dessus de souterrains la portant à 7 m de hauteur au dessus des sols ambiants ; deux grandes vasques rectangulaires faisaient état d'étang sacré ; tout autour de la cour, un péristyle richement ouvragé abritait des exèdres ou bancs de pierre face à des corniches sculptés. Précédant cette cour, plus à l'Est, une autre cour plus petite, hexagonale, manière de porche monumental, 60 m d'axe! Egalement entourée d'un portique et d'exèdres. Et en avant de cette cour, une galerie = les propylées, de 12 colonnes, auxquelles on accéde de par un escalier monumental.

    Le second temple, dit aujourd'hui "de Bacchus" à cause des sculptures à motifs bachiques par endroits, était plutôt celui de la parèdre de Baal, la Baalate, Ischtar ou Atargatis. Il est très bien conservé et fait l'admiration des connaisseurs et des touristes: 70 m de long sur 35 de large, entouré d'un péristyle de 48 colonnes de 20 m de haut portant un entablement à frise de lions, taureaux, acanthes, richement sculptés.
    La porte d'entrée monumentale, 13 m de haut sur 7,5 de large, finement ouvragé ; la nef aux colonnes cannelées engagées dans le mur ; la cella, le choeur, 27 m de long sur 22 de large ; l'adyton ou autel de la divinité, surélevé, en font un monument religieux de premier ordre.

    Le troisième temple, plus petit, dit aujourd'hui "de Vénus" plus à l'Est est une merveille de goût et de finesse, une porte de 6 m de haut sur 3 de large, précédée d'un portique à double colonnade ; un cella ou choeur admirablement sculpté de guirlandes …

    Cet ensemble grandiose de temples offre chaque année le cadre de festivals sans rivaux dans tout le Moyen Orient : théâtre, musique, folklore, … son et lumière, qui en font un haut lieu de mémoire, de culture et d'émotions de haute valeur.


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  • Madame Hélène CARRÈRE D’ENCAUSSE secrétaire perpétuelle à l' Académie française déclarait cette semaine à l'antenne de BFM à propos de l'anglais international  "anglais des hôtels" d'après ses parents : "c'est tellement commode de prendre une langue simplette comme langue commune"

    Les anglophones apprécieront ces propos méprisants à l'encontre de leur langue.

    Pas étonnant qu'on soit le bonnet d'âne de l'Europe en matière d'apprentissage de l'anglais et des langues en général en France.

    Elle a ajouté : "Je parle admirablement russe" on est content pour elle.


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  • "L'œuvre de Dieu"

    Le chanteur Bob Geldof a souligné, au micro de la BBC, que le raz-de-marée est "l'œuvre de Dieu", tandis que "la pauvreté et la dette" en Afrique est "l'œuvre de l'homme".
    "Nous ne pouvons rien faire contre un raz-de-marée, mais nous pouvons faire quelque chose pour l'Afrique, nous pouvons empêcher cette blessure de saigner davantage", a-t-il dit. A l'Union africaine, à Addis Abeba, on se contente de souligner "un recul de l'aide publique au développement depuis plusieurs années" sur le continent.
    "Nous ne pensons pas que ce formidable élan de solidarité pour Asie se fait au détriment de l'assistance pour l'Afrique", déclare le porte-parole de la présidence de la Commission de l'UA, Adam Thiam, soulignant que l'organisation continentale a donné 100.000 dollars pour "manifester symboliquement sa solidarité et sa compassion" aux victimes du raz-de-marée, parmi lesquelles près de 800 Somaliens. Le tsunami a également fait des ravages sur les côtes d'Afrique de l'Est.

    Mais bien sûr, la Somalie n'est pas aussi médiatique que les Maldives ou la Thaïlande, et bien moins touristique.

    Les experts agricoles évaluent l'impact économique de la catastrophe naturelle qui a frappé l'Asie du Sud-Est. Les pays les plus touchés sont d'importants exportateurs d'huile de palme, de caoutchouc...et de riz. L'Afrique de l'Ouest continue d'importer en masse, notamment d'Inde et de Thaïlande, cette denrée de plus en plus coûteuse. Les conséquences du Tsunami sur le marché rizicole sont pour l'instant difficiles à évaluer, et ne se feront ressentir que d'ici quelques semaines. L'Afrique dispose cependant de portes de sorties face à une éventuelle pénurie de leur partenaires asiatiques (notamment avec la Chine et le Brésil).

    Les pays les plus concernés par ces éventuels effets sont ceux d'Afrique de l'Ouest, comme le Sénégal et le Nigeria, mais également Madagascar, qui importent le riz en en grande quantité, au détriment de leurs producteurs locaux et au grand dam de leurs consommateurs. Alors que cette denrée se fait toujours plus rare et plus chère, une nouvelle hausse du prix de la céréale est à craindre si la production mondiale, déjà en baisse en 2004, continue de s'essouffler.


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  • Dans un style très simple et très clair Levi Strauss attaque le racisme au travers de complexe de supériorité de la civilisation occidentale. On croit souvent que la civilisation occidentale, malgré ses défauts, constitue le forme la plus avancée de progrès et que les autres civilisations (aborigènes, pré-colombiennes, asiatiques etc.) ne sont que des versions enfants ou adolescentes de la civilisation occidentale.

    L'auteur, grâce à des exemples clairs et frappants, démontre qu'il n'en est rien. Après une étude complète il en déduit que la civilisation européenne n'est très importante que par sa puissance et par le fait que ce soit la notre.

    Il démontre entre autres une théorie de la relativité des civilisations intéressante : une civilisation serait d'autant plus en progrès que l'on serait proche d'elle et il serait impossible à une personne extérieure de distinguer du progrès dans une civilisation où il n'aurait aucun repère.

    Une fois démontrés ces propositions, Claude Levi Strauss en conlut à l'absurdité du racisme de civilisation de la même façon que des biologistes démontrent l'absurdité du racisme "biologique".

    Ce petit livre est une contribution du grand ethnologue à la lutte contre le racisme. En ces jours troublés où certains revendiquent la soi-disant supériorité de la civilisation européenne il est salutaire de relire "Race et Histoire".


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