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      Un musée australien consacre une exposition à une faune étrange et gigantesque dont les fossiles ont été découverts depuis dix ans. Des créatures peu connues, parfois contemporaine des premiers hommes. 

    Australie 

    L'Australie a déjà été une terre de géants. C'est du moins ce que démontre l'exposition Australia's Lost Kingdoms, organisée par le Musée australien. Ses conservateurs ont rassemblé une collection de fossiles découverts récemment et ont reconstitué une faune étrange et souvent terrifiante : crocodiles vivant dans les arbres, lézards géants, lions marsupiaux et kangourous carnivores. Des espèces parfois contemporaines des premiers habitants humains du contient austral.

    Le lion marsupial.

    Plusieurs de ces animaux anciens étaient des géants. L'exposition présente des reconstitutions grandeur nature d'une tortue de la taille d'une petite voiture et d'un lézard de 600 kilos et de sept mètres de long, Megalania prisca, un proche cousin aujourd'hui disparu du dragon de Komodo, un autre grand lézard du Pacifique. L'Australie a déjà aussi abrité le Dromornis stirtoni le plus gros oiseau de tous les temps. C'était une sorte de canard carnivore de trois mètres de haut et pesant 400 kilos, au bec acéré comme une hache.


    Megalania prisca, un lézard géant de sept mètres de long.
    D'autres carnivores ont aussi semé la terreur sur le continent. Notamment des kangourous carnivores qui auraient pu arracher le bras d'un homme d'un seul coup. Mais l'honneur d'avoir été le plus grand mammifère carnivore d'Australie revient à Thylacoleo carnifex, une sorte de lion marsupial. Cet animal de 1,50 mètres de long et de 160 kilos était apparenté aux pacifiques koalas � dont il avait le nez - et avait une dentition qui lui permettait de s'attaquer à des animaux plus grands que lui.

    L'un des ancêtres du tigre de Tasmanie.
    D'où venait cette faune géante? Pourquoi a-t-elle disparu? Les animaux géants ont atteint leur sommet lors du Pléistocène, une époque qui a débuté il y a 1,8 million d'années pour se finir il y a 11 000 ans. Un peu partout dans le monde, on observe la même tendance : des espèces plus grosses, plus spécialisées. Qui semble être une adaptation au climat froid et sec de cette ère. Quant à leur disparition, le retour du beau temps n'est peut-être pas seul en cause : l'homme a atteint l'Australie il y a 50 000 ans et des ossements de lion marsupiaux et de tortues géantes parsèment les sites préhistoriques. 


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  •  L'aéronautique expérimenté par les Africains anciens
    UNE MAQUETTE DE PLANEUR VIEUX DE DEUX MILLE ANS, CONSTRUITE PAR LES ANCIENS EGYPTIENS A ÉTÉ DÉCOUVERTE EN AFRIQUE PAR DES SCIENTIFIQUES DE LA NASA

    29 septembre 2003

    par Jean-Philippe Omotunde

    La découverte de Khalil Messiha, à savoir, une maquette de planeur, indique que les Africains anciens avaient déjà fait l'expérience de machines volantes dès le 5ème ou 4ème siècle avant Jésus-Christ. Un article basé sur plusieurs pièces reliées, collectionnées et présentées à l'éditeur par un officier de la NASA, confirme la découverte.

    Cette maquette extraordinaire avait été placée parmi des modèles d'oiseaux au Musée Égyptien. Elle date de plusieurs centaines d'années avant J. C. Elle a été découverte à Sakkarah en 1898 et était construite en bois de platane. C'est une vraie maquette de monoplace.

    Des membres du Comité International de l'Éducation Aérospatiale qui se rencontrèrent au Caire pour la première fois, étaient surpris quand ils visitèrent le « Egyptian Museum » . Ce n'était pas la surprise normale de visiteurs venant au Musée pour la première fois, mais plutôt la stupéfaction de voir la maquette d'un aéroplane vieux de 2 300 ans.

    Lorsque ce modèle fut découvert au 19ème siècle, on ne savait pas grand chose des aéroplanes et la maquette fut rangée parmi d'autres modèles d'oiseaux. Pendant plusieurs années, elle fut gardée dans une boîte de verre avec d'autres oiseaux, jusqu'à ce qu'un jeune physicien et artiste Égyptien nota qu'elle était différente des autres oiseaux. La différence était claire à ses yeux, car les queues d'oiseau sont horizontales, alors que là, la queue était verticale. La maquette a aussi des ailes différentes des autres oiseaux et elles ressemblaient par contre bien aux ailes d'un avion.

    Ce physicien était aussi un amateur de maquettes d'avions et fut capable de distinguer celle-ci des autres oiseaux qui l'entouraient. Des archéologues et scientifiques du monde furent invités à étudier cette pièce fantaisiste qui sans aucun doute change l'histoire de l'aviation.

    Cette maquette avait donc été trouvé en 1898, dans une tombe à Saqqarah. Pour les archéologues, vu que les avions n'existaient normalement pas en Afrique noire à cette époque, la trouvaille fut classée « figurine d'oiseau en bois » dans le "rayon jouets", sous le n° 6 347 au sous-sol du musée du Caire.

    C'est en 1969, que le Dr Khalil Messiha, observant les maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué par cet oiseau bizarre.

    Voilà ses caractéristiques :

    · Formes aérodynamiques comparables aux planeurs modernes.

    · L'avion en sycomore léger pèse 39 grammes, pour 14 centimètres de longueur et 18 d'envergure.

    · Ailes en dièdre inverse, ce qui procure une grande stabilité en vol.

    · Queue verticale et non horizontale.

    · Inscription portée sur l'avion : "don d'Amon", soit don de Dieu.

    · Fuselage parfaitement "centré" (centre de gravité situé au tiers de la corde de l'aile).

    Les répliques en balsa qui ont été faites par les chercheurs à partir de ces caractéristiques ont effectivement pu voler. Ceci, en rajoutant simplement une pièce fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur. Cette maquette est maintenant officiellement classée comme maquette d'avion, en compagnie d'une quinzaine d'autres pièces ailés. Ces objets ont fait l'objet d'une exposition spéciale au musée du Caire en 1972.


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  • ci-dessus :

    Figurine Maya représentant une espèce de véhicule volant ou un aéroglisseur (?) piloté par un étrange personnage...

    Le premier objet volant, "plus lourd que l'air" et mécanique, est attribué aux frères Wright en 1903, après que Clément Ader ait fait voler son Avion en 1897 ! ( Déjà, la puissance des média américains ).

    L'ingénieur allemand Lilienthal leur avait auparavant ouvert la voie en faisant voler ses planeurs ( il se tua au cours de son 2000e vol en 1896 ).

    La première élévation humaine dans les airs est due aux frères Montgolfier, en ballon en 1782.

    Avant cela, le vol est une impossibilité, un rêve ou une légende...

     

     


      <shapetype id="_x0000_t75" stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"></shapetype><stroke joinstyle="miter"></stroke><formulas></formulas><f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></f><f eqn="sum @0 1 0"></f><f eqn="sum 0 0 @1"></f><f eqn="prod @2 1 2"></f><f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></f><f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></f><f eqn="sum @0 0 1"></f><f eqn="prod @6 1 2"></f><f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></f><f eqn="sum @8 21600 0"></f><f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></f><f eqn="sum @10 21600 0"></f>

    <lock aspectratio="t" v:ext="edit"></lock><shape id="_x0000_i1026" style="WIDTH: 187.5pt; HEIGHT: 168.75pt" alt="Aéronef de Gusmao" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/1709.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif"></imagedata>

    <lock aspectratio="t" v:ext="edit"></lock><shape id="_x0000_i1026" style="WIDTH: 187.5pt; HEIGHT: 168.75pt" alt="Aéronef de Gusmao" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/1709.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif"></imagedata>

    En 1708, à Lisbonne, un père jésuite brésilien, de retour de Bolivie demanda officiellement au roi du Portugal Joâo V, l'autorisation de fabriquer un engin volant après lui avoir expliqué les bénéfices potentiels de cette nouvelle invention. Cet engin volant pourrait emporter 12 hommes et faire 200 miles nautiques en 24 heures, ( vitesse impressionnante pour l'époque, mais en fait environ 15 kilomètres par heure ).

    La réponse fut favorable, il obtint même une pension importante pour ses travaux le 17 avril 1709.

    Le fuselage était fait en plaques de fer recouvertes de nattes de paille, 2 globes de fer contenant de la magnétite reposaient sur des colonnes.
    Sur l'étrange maillage étaient fixées un grand nombre de perles d'ambre qui "
    par une opération secrète maintiendraient l'aéronef en l'air. La chaleur du soleil sur les nattes disposées le long de l'aéronef tirerait celui-ci vers l'ambre."(?)

    Le 5 août, Bartholomeu Lourenço de Gusmâo fit voler son engin devant le roi et sa cour mais il prit feu en l'air ; Le 30 octobre, nouvel essai de la "gondole volante", cette fois couronné de succès.

    Promu académicien et aumônier royal, Gusmâo dut stopper ses essais à cause de l'Inquisition qui jugea l'invention satanique. ( 1 )

     

     



     

    M. Doru Todericiu, professeur des Sciences et Techniques à l'Université de Bucarest, exhuma en 1961, un vieux manuscrit de la bibliothèque de Sibiu ( Roumanie ).

    Le troisième cahier de cet ouvrage est l'oeuvre de Conrad Haas, chef du dépôt d'artillerie de Sibiu, entre 1550 et 1570.

    Ce manuscrit est un compte rendu du lancement d'une fusée à étages et d'une "lance volante" ( missile ? ). ( 2 )

    L'expérience aurait eu lieu en 1555, devant des milliers de témoins et aurait été un succès (!?!).

    Parmi les inventions de Conrad Haas figurent :

    • Fusées à 2 et 3 étages ( 1529 ).

    • "Maisonnette volante" ( 1536 ).

    • Systèmes d'ignition des étages à carburant solide ( 1555 ).

    • Ailettes de stabilisation en forme d'ailes delta ( 1555 ).

    <shape id="_x0000_i1028" style="WIDTH: 114.75pt; HEIGHT: 225pt" alt="Fusées à 2 et à 3 étages du maître feux Conrad Haas" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/sibiu1.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image002.gif"></imagedata><shape id="_x0000_i1029" style="WIDTH: 312pt; HEIGHT: 225pt" alt="Extrait du manuscrit du musée de Sibiu" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/sibiu2.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image003.gif"></imagedata>

     

     



     

    On a retrouvé en Bolivie3 ) , en Colombie et en Amérique Centrale, une vingtaine de bijoux en or, fabriqués par les Qimbayas, d'environ 5 centimètres, datant du Ve au XIe siècle.

    Ils sont répertoriés officiellement comme reproductions zoomorphiques :

    • Un insecte ou un oiseau ? Leurs ailes sont toujours situées au-dessus de leur corps !

    • Une raie ? Elles n'ont pas de nageoire caudale !

    • Un poisson ( volant ) ?

      • Ils ont des nageoires en forme d'aile de libellule, pas en forme d'aile delta !

      • Contrairement à la dérive des avions, leur nageoire caudale est symétrique ( vers le haut et vers le bas ) !

    A vous de vous faire une idée :

    <shape id="_x0000_i1031" style="WIDTH: 187.5pt; HEIGHT: 237.75pt" alt="Vue de dessus" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/bij_top.jpg" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image004.jpg"></imagedata><shape id="_x0000_i1032" style="WIDTH: 187.5pt; HEIGHT: 89.25pt" alt="Vue de profil" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/bij_profil.jpg" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image005.jpg"></imagedata><shape id="_x0000_i1033" style="WIDTH: 187.5pt; HEIGHT: 91.5pt" alt="Vue de face" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/bij_front.jpg" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image006.jpg"></imagedata>

    Coïncidences ? Gusmâo fit son avion après son retour de Bolivie, pays proche du Pérou où sont situées les fameuses "lignes" de Nazca ( même s'il s'avère qu'elles auraient fait de bien piètres pistes d'atterrissage )...


     

    <shape id="_x0000_i1035" style="WIDTH: 180.75pt; HEIGHT: 70.5pt" alt="Planeur égyptien" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/plan1.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image007.gif"></imagedata>

    En 1898, on a trouvé dans une tombe à Saqqarah en Egypte, un objet ailé daté de 200 ans av. J.C..

    Comme les avions n'existaient pas dans l'ancienne Egypte, il fut répertorié comme figurine d'oiseau en bois et classé sous le n° 6347 dans le "rayon jouets" au sous-sol du musée du Caire.

    Il demeura ignoré jusqu'en 1969, quand le Dr Khalil Messiha qui étudiait les maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué par cet oiseau bizarre.

    • Aux formes aérodynamiques comparables à nos planeurs modernes.

    • Qui a une queue verticale et non horizontale.

    • Avec comme inscription : "don d'Amon", le dieu du vent.

    • L'objet en sycomore léger pèse 39 grammes, fait 14 centimètres de longueur pour 18 d'envergure.

    • Ses ailes sont en dièdre inverse, ce qui procure une grande stabilité en vol.

    • Il est parfaitement "centré" ; son centre de gravité se situe au tiers de la corde de l'aile.

    Il peut donc voler !!!
    Comme l'ont démontré les répliques en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur.

    Il est maintenant étiqueté comme maquette d'avion, ainsi qu'une quinzaine d'autres artefacts ailés, et a fait l'objet d'une exposition spéciale dans le hall central du musée du Caire en 1972.

    <shape id="_x0000_i1036" style="WIDTH: 237.75pt; HEIGHT: 212.25pt" alt="Photo d'Erich Von Däniken" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/plan2.jpg" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image008.jpg"></imagedata><shape id="_x0000_i1037" style="WIDTH: 291pt; HEIGHT: 169.5pt" alt="Photo d'Erich Von Däniken" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/plan3.jpg" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image009.jpg"></imagedata>

    Il y a 2200 ans, qui pouvait avoir de telles connaissances aérodynamiques ?

    Comment ont-ils obtenu ce savoir ? observation ? voyance ? ...

    A noter que les égyptiens étaient connus pour faire des maquettes de leurs projets de construction ainsi que des objets familiers au mort afin de les placer dans sa tombe pour l'éternité.

     

     


     

    <shape id="_x0000_i1043" style="WIDTH: 150pt; HEIGHT: 162pt" alt="Aéroglisseur ?" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/aeroglis1.jpg" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image012.jpg"></imagedata>

    <shape id="_x0000_i1044" style="WIDTH: 150pt; HEIGHT: 171pt" alt="Aéroglisseur ?" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ov/aeroglis2.jpg" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image013.jpg"></imagedata>

    <shape id="_x0000_i1048" style="WIDTH: 150pt; HEIGHT: 68.25pt" alt="Fusée Turque" type="#_x0000_t75"></shape><imagedata o:href="http://www.ldi5.net/i/ufo/hist1/fuseeturc.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-N~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image015.gif"></imagedata>

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    Ankh-djed


    Parmi les nombreuses énigmes que la civilisation égyptienne nous a posées, il en est encore qui ne sont pas résolues, en particulier celle-ci :

    Comment les égyptiens s'éclairaient-ils ?

    Dans la vie courante, on sait qu'ils employaient des lampes à huile ou des torches, qui laissaient de nombreux résidus gras de combustion sur les murs et les plafonds.

    Mais dans les tombeaux de la vallée des rois, par exemple dans celui de Seti II, creusé dans la montagne sur plus de 100 mètres, on ne trouve aucune trace de suie sur les murs ou les plafonds qui sont tous peints et gravés dans la roche.
    Les artistes ont travaillé sans la lumière du jour, et sans lampes à huile ni torches.
    Des scientifiques ont émis l'hypothèse qu'ils s'étaient simplement servis de miroirs pour réfléchir la lumière du soleil à l'intérieur des couloirs et des salles.

    N'en déplaise à ceux qui pensent que l'Egypte n'a aucun mystère pour les savants du XXe siècle, ça ne marche pas !

    Jeux de miroirsLes miroirs d'argent des égyptiens ne pouvaient refléter au mieux que 40% de la lumière, ce qui fait qu'après l'utilisation de quelques miroirs seulement, l'obscurité reprend sa place.

    Le mystère reste entier...

    On a cependant trouvé dans la chambre intérieure du temple d'Hator à Denderah, des bas-reliefs, vieux de 4200 ans, surprenants, qui ne pouvaient avoir qu'une interprétation cultuelle au XIXe siècle, mais qui nous rappellent étrangement des ampoules électriques !!!

    Bas relief de DenderahBas relief de Denderah
    Bas relief de DenderahBas relief de Denderah

     

    Les égyptologues nous racontent que ces bas-reliefs sont voués au culte du serpent...

    Erich Von Däniken a reconstruit ces bulbes en laboratoire :

    Photo d'Erich Von Däniken Photo d'Erich Von Däniken Photo d'Erich Von Däniken


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    Les crânes de cristal


    Crâne de Mitchell-Hedges vue de face Crâne de Mitchell-Hedges vue de profil


    En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize. (  1 )

    En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin. (  2 )
    Il pèse 5 kg . Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure.

    Mâchoire

    Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes :

    • éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites.
    • Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.
    Certaine de son authenticité, Anna accepte de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard.
    Après 6 mois de tests, les conclusions tombent :
    • Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope(  3 ).
    • Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche.( 4 )
    • Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque.5 )
    • Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication ( le cristal ne vieillit pas ).
    • Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur ( avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas ! ), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile.
      La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu !

    Un chercheur de l'équipe aurait déclaré :
    Ce sacré truc ne devrait même pas exister ! "

    Il existe d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement établies.

    Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche parapsychologique afin d'étudier leurs propriétés "psy".

    Jo Ann Parks est détentrice de "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne à la croix reliquaire.

    En 1996, tous les trois ont accepté de prêter leur crâne au British Muséum à fin d'expertise.

    Cinq crânes ont été étudiés, les trois précédemment cités, ainsi que celui du British Muséum et celui du Smithonian Institute.

    Un gobelet de cristal daté d'au moins 500 ans av. J.C., et un crâne moderne fabriqué en 1993 en Allemagne par Hans-Jürgen Henn ont servi de témoins.

    Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage.

    Quant au crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment le trou que les espagnols ont percé pour y introduire la croix.

    Et... silence ! Pour "Max" et "Sha-Na-Ra" : "No Comment" !!!

    Depuis, les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais également de dire pourquoi !!!

    Nous avons là un nouvel exemple de la démission des scientifiques devant un objet impossible.

    Une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie.
    Selon leur tradition, ces crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du ciel !!!

    • Ces crânes seraient-ils les ancêtres des boules de cristal ?
    • Une espèce de support d'information, venu du fond des âges, pouvant se mettre en résonance avec le cerveau humain ?
    • Un briquet sophistiqué ?
    • Ou bien un simple objet décoratif pour honorer les ancêtres ?...

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