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    Ankh-djed


    Parmi les nombreuses énigmes que la civilisation égyptienne nous a posées, il en est encore qui ne sont pas résolues, en particulier celle-ci :

    Comment les égyptiens s'éclairaient-ils ?

    Dans la vie courante, on sait qu'ils employaient des lampes à huile ou des torches, qui laissaient de nombreux résidus gras de combustion sur les murs et les plafonds.

    Mais dans les tombeaux de la vallée des rois, par exemple dans celui de Seti II, creusé dans la montagne sur plus de 100 mètres, on ne trouve aucune trace de suie sur les murs ou les plafonds qui sont tous peints et gravés dans la roche.
    Les artistes ont travaillé sans la lumière du jour, et sans lampes à huile ni torches.
    Des scientifiques ont émis l'hypothèse qu'ils s'étaient simplement servis de miroirs pour réfléchir la lumière du soleil à l'intérieur des couloirs et des salles.

    N'en déplaise à ceux qui pensent que l'Egypte n'a aucun mystère pour les savants du XXe siècle, ça ne marche pas !

    Jeux de miroirsLes miroirs d'argent des égyptiens ne pouvaient refléter au mieux que 40% de la lumière, ce qui fait qu'après l'utilisation de quelques miroirs seulement, l'obscurité reprend sa place.

    Le mystère reste entier...

    On a cependant trouvé dans la chambre intérieure du temple d'Hator à Denderah, des bas-reliefs, vieux de 4200 ans, surprenants, qui ne pouvaient avoir qu'une interprétation cultuelle au XIXe siècle, mais qui nous rappellent étrangement des ampoules électriques !!!

    Bas relief de DenderahBas relief de Denderah
    Bas relief de DenderahBas relief de Denderah

     

    Les égyptologues nous racontent que ces bas-reliefs sont voués au culte du serpent...

    Erich Von Däniken a reconstruit ces bulbes en laboratoire :

    Photo d'Erich Von Däniken Photo d'Erich Von Däniken Photo d'Erich Von Däniken


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    Les crânes de cristal


    Crâne de Mitchell-Hedges vue de face Crâne de Mitchell-Hedges vue de profil


    En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize. (  1 )

    En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin. (  2 )
    Il pèse 5 kg . Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure.

    Mâchoire

    Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes :

    • éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites.
    • Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.
    Certaine de son authenticité, Anna accepte de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard.
    Après 6 mois de tests, les conclusions tombent :
    • Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope(  3 ).
    • Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche.( 4 )
    • Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque.5 )
    • Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication ( le cristal ne vieillit pas ).
    • Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur ( avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas ! ), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile.
      La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu !

    Un chercheur de l'équipe aurait déclaré :
    Ce sacré truc ne devrait même pas exister ! "

    Il existe d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement établies.

    Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche parapsychologique afin d'étudier leurs propriétés "psy".

    Jo Ann Parks est détentrice de "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne à la croix reliquaire.

    En 1996, tous les trois ont accepté de prêter leur crâne au British Muséum à fin d'expertise.

    Cinq crânes ont été étudiés, les trois précédemment cités, ainsi que celui du British Muséum et celui du Smithonian Institute.

    Un gobelet de cristal daté d'au moins 500 ans av. J.C., et un crâne moderne fabriqué en 1993 en Allemagne par Hans-Jürgen Henn ont servi de témoins.

    Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage.

    Quant au crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment le trou que les espagnols ont percé pour y introduire la croix.

    Et... silence ! Pour "Max" et "Sha-Na-Ra" : "No Comment" !!!

    Depuis, les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais également de dire pourquoi !!!

    Nous avons là un nouvel exemple de la démission des scientifiques devant un objet impossible.

    Une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie.
    Selon leur tradition, ces crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du ciel !!!

    • Ces crânes seraient-ils les ancêtres des boules de cristal ?
    • Une espèce de support d'information, venu du fond des âges, pouvant se mettre en résonance avec le cerveau humain ?
    • Un briquet sophistiqué ?
    • Ou bien un simple objet décoratif pour honorer les ancêtres ?...

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  • Les mystérieuses sphères du Costa Rica

    Dans les années 30, la « United Fruit Company » défriche de grandes étendues de terre, dans le delta du Diquis sur la côte pacifique du Costa Rica. A cette occasion, de nombreuses sphères de granite parfaitement sphériques et apparemment artificielles furent découvertes.

    De cette curiosité archéologique, il n’en fallait pas moins pour voir la preuve de l’intervention de races créatrices extraterrestres ou du monde d’Atlantide.

    Les véritables connaissances archéologiques de ce phénomène permettent d’avoir un éclairage légèrement différent quant aux mystérieuses sphères précolombiennes du Costa Rica.

    George Erickson, coauteur de « Atlantis in America : Navigators of the Ancient World » (1) présente les sphères en pierre du Costa Rica comme un grand mystère inexplicable : […] certaines mesurent 3m de diamètre et pèsent 30 tonnes. Beaucoup sont des sphères presque parfaites, et se sont avérées à moins de 2 millimètres d’une perfection sphérique absolue - un exploit technologique impossible jusqu'à l'invention du laser.

    Trois grandes sphères sont alignées en direction de l'île de Pâques - qui a sa propre collection de pierres sculptées - ce qui indique à l'évidence que ces objets sont de vieilles reliques, façonnées il y a plus de 12.000 ans, d'une culture antique, techniquement avancée, peut-être l’Atlantide…

    Il existe de par le Monde, un nombre étonnant de faits anciens, qui dans l'état actuel des connaissances, ne s'expliquent pas, comme par exemple, les murs cyclopéens de Bimini, découverts en 1969 dans les Bahamas, les fabuleuses cartes du monde de Piri Reis de 1513 et 1528, découvertes lors d'un inventaire le 9 novembre 1929 au musée de Topkapi à Istambul en Turquie, les surprenants tracés de la plaine de Nazca dans les Andes péruviennes, dont certains font près de 15 km de long. Mais les boules parfaites de granit d'une moyenne de 12 tonnes, découvertes dans les forêts du Costa Rica, représentent aussi jusqu'à, nouvel ordre, une fantastique énigme dont la science officielle aura bien du mal à trouver la solution.

    De par le monde, on découvre souvent disséminés au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières des objets de formes géométriques parfaites comme des oeufs, des cercles ou des sphères. On en a, par exemple, découvert des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio et le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, un gigantesque œuf de pierre de 100 m de long et 30 m de haut , couvert de symboles solaires et qui n'est pas, a dit cet archéologue, un "caprice de la nature", mais qui a nécessité un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes. Mais la véritable sensation archéologique, qui nous interpelle maintenant, nous dit le célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN dans son remarquable ouvrage "Retour aux étoiles" publié chez R. Laffont en 1971 ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322) , attend toujours d'être déchiffrée, dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.

    En effet au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées çà et là, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée parait-il (nous aimerions bien en voir une photo) pèse environ 30 tonnes.

    De par le monde, on découvre souvent disséminés au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières des objets de formes géométriques parfaites comme des oeufs, des cercles ou des sphères. On en a, par exemple, découvert des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio et le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, un gigantesque œuf de pierre de 100 m de long et 30 m de haut , couvert de symboles solaires et qui n'est pas, a dit cet archéologue, un "caprice de la nature", mais qui a nécessité un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes. Mais la véritable sensation archéologique, qui nous interpelle maintenant, nous dit le célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN dans son remarquable ouvrage "Retour aux étoiles" publié chez R. Laffont en 1971 ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322) , attend toujours d'être déchiffrée, dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.


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    Il y a 2000 ans, le temple de Jupiter, de 88 mètres par 48, fut érigé sur un podium de 13 mètres qui s'élèvait à 7 mètres au-dessus de la grande cour. Ces six colonnes hautes de 22 mètres sont tout ce qui en reste aujourd'hui.

    La première rangée de cette plateforme contient quelques-uns des plus gros blocs de pierre jamais transportés au monde. Chacun des trois premiers blocs sur cette photo a un poids estimé à 800 tonnes. Ils proviennent d'une carrière locale où se trouve encore le plus gros bloc de pierre jamais taillé mesurant 21,5 x 4,8 x 4,2 mètres et pesant environ 1 000 tonnes. 

    Seules six colonnes sont restées debout, les tremblements de terre et les destructions humaines, ayant bouleversé le site. On peut ainsi observer au sol la qualité sculpturale de ces ouvrages. En avant du temple, une immense cour de 135 m de long sur 113 de large, (au-dessus de souterrains) domine à 7 m de hauteur au dessus des environs ; deux grandes vasques rectangulaires faisaient office d'étang sacré ; tout autour de la cour, un péristyle richement ouvragé abritait des bancs de pierre face à des corniches sculptées. Plus à l'Est, une autre cour plus petite, hexagonale, au porche monumental de 60 mètres. En avant de cette cour, un propylée avec 12 colonnes, auquel on accède par un escalier monumental.

    Le second temple, faussement dit "de Bacchus" était sans doute consacré à Vénus, la déesse de l’Amour (Aphrodite, Astarté). Légèrement plus petit que celui de Jupiter (70 m de long sur 35 de large) est bien mieux conservé. Il est entouré d'un péristyle de 48 colonnes de 20 m de haut portant un entablement à frise de lions, taureaux, acanthes, richement sculptés.
    La porte d'entrée monumentale, 13 m de haut sur 7,5 de large, est finement ouvragée ; la nef aux colonnes cannelées engagées dans le mur ; la cella, le chœur, 27 m de long sur 22 de large ; l'adyton ou autel de la divinité, surélevé, en font un remarquable témoin archéologique de l’art religieux antique.

    Le troisième temple, plus petit, dit aujourd'hui "de Vénus" plus à l'Est est une merveille de goût et de finesse, une porte de 6 m de haut sur 3 de large, précédée d'un portique à double colonnade ; un chœur admirablement sculpté de guirlandes …

    On a perdu le savoir nécessaire à la construction de tels édifices !

    "Finalement, voici l'intérieur du temple de Bacchus où les Romains et leurs sujets tenaient l'équivalent de ce que nous appelons maintenant "des rave Party's".

    "Il est important de ne pas oublier que les distinctions entre le Liban, la Syrie, l'Irak et la Palestine n'ont été crées qu'au siecle dernier par des puissances coloniales étrangères.

    Tous ces peuples partagent entre eux une bien plus ancienne culture et d'histoire. En dépit de leurs différences superficielles, les Libanais, les Syriens et les Iraquiens savent bien que les Palestiniens sont leurs cousins..."

    Pour en savoir plus :

    Entre les deux chaînes de montagnes du Liban et de l'Anti-Liban, orientées nord-sud et parallèles à la côte orientale de la Méditérranée, s'est creusée une haute vallé d'effondrement, riche et fertile : la Békaa, devenue passage immémorial des caravanes nord-sud du Croissant fertile. Et en son centre géodésique le plus élevé, à 1200 m. d'altitude, lieu de partage des eaux de deux fleuves : le Nahr el Assi ou Oronte qui coule vers le nord et le Léontès ou Litani vers le sud, s'est constituée, autour d'une énorme source vauclusienne ; Ras el Aïn, une ville aux jardins prospères et abondamment arrosés, centre plurimillénaire de relais et d'échanges caravaniers, que son site particulièrement ensoleillé, a fait appeler Héliopolis (Hélios = soleil; polis = ville) au temps des grecs et que les habitants de la vallée appelaient, eux, Baalbek ("au Dieu de la Vallée")

    Ses peuples anciens, ici les Cananéens, étaient très religieux : cf. le prophète Malakiyah 1/10-14. Des temples avaient été édifiés là au Dieu El, appelé par la suite : Baal, c'est à dire : "le Maître" de la Terre et des Cieux (ef. Genèse 14/18-20). Lorsque les Grecs (Alexandre en 332 av. J.C.), puis les Romains (Pompée en 66 av. J.C.), eurent conquis "tout l'Orient" (le Mashrek), ils firent élever en ces lieux, au long des 1er, 2ème et 3ème siècle après J.C., un ensemble religieux grandiose, le plus grand de toute la Méditérranée, aux dieux de la triade sémitique : le Dieu El (devenu Baal, puis Jupiter), sa parèdre Ishtar ou Atargatis (devenue Vénus) et leur "enfant" Adoun (adonis en grec, devenu Mercure chez les Romains).

    Le temple le plus impressionnant, celui de Jupiter, 88 m de long sur 48 de large, était juché sur un immense soubassement de pierres et de terre à 13 m au dessus des sols ambiants et ceinturé d'un mur cyclopéen gigantesque de blocs de pierre de 10 m de long sur 4 et 5 d'équarrement. La cella ou choeur adossée à un trilithon, de trois énormes pierres barlongues de 20 m de long sur 4 et 5 d'équarrement (chacune environ 750 tonnes). Une quatrième, taillée de même, 20 m sur 4 et 5, se voit restée dans la carrière originelle. Le péristyle autour de la nef était de 54 colonnes dont 10 frontales, de 20 m de haut et 2.2 m de diamètre, en trois tambours ; elles portaient un entablement de 5 m de haut, corniche et frise de lions, de taureaux, d'acanthes, et modillons de perles (raisins) et d'oves (olives). Sauf 6 colonnes restées debout, les tremblements de terre et les destructions intéressées, ont tout renversé pêle-mêle, laissant voir le luxe sculptural inouï dont ces artistes religieux ou fins politiques avaient paré cet ouvrage.

    En avant du temple, une immense cour de 135 m de long sur 113 de large, au-dessus de souterrains la portant à 7 m de hauteur au dessus des sols ambiants ; deux grandes vasques rectangulaires faisaient état d'étang sacré ; tout autour de la cour, un péristyle richement ouvragé abritait des exèdres ou bancs de pierre face à des corniches sculptés. Précédant cette cour, plus à l'Est, une autre cour plus petite, hexagonale, manière de porche monumental, 60 m d'axe! Egalement entourée d'un portique et d'exèdres. Et en avant de cette cour, une galerie = les propylées, de 12 colonnes, auxquelles on accéde de par un escalier monumental.

    Le second temple, dit aujourd'hui "de Bacchus" à cause des sculptures à motifs bachiques par endroits, était plutôt celui de la parèdre de Baal, la Baalate, Ischtar ou Atargatis. Il est très bien conservé et fait l'admiration des connaisseurs et des touristes: 70 m de long sur 35 de large, entouré d'un péristyle de 48 colonnes de 20 m de haut portant un entablement à frise de lions, taureaux, acanthes, richement sculptés.
    La porte d'entrée monumentale, 13 m de haut sur 7,5 de large, finement ouvragé ; la nef aux colonnes cannelées engagées dans le mur ; la cella, le choeur, 27 m de long sur 22 de large ; l'adyton ou autel de la divinité, surélevé, en font un monument religieux de premier ordre.

    Le troisième temple, plus petit, dit aujourd'hui "de Vénus" plus à l'Est est une merveille de goût et de finesse, une porte de 6 m de haut sur 3 de large, précédée d'un portique à double colonnade ; un cella ou choeur admirablement sculpté de guirlandes …

    Cet ensemble grandiose de temples offre chaque année le cadre de festivals sans rivaux dans tout le Moyen Orient : théâtre, musique, folklore, … son et lumière, qui en font un haut lieu de mémoire, de culture et d'émotions de haute valeur.


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  •     Palenque est une remarquable cité maya de l'État de Chiapas au Yucatan (Mexique). Elle abrite les vestiges d'une civilisation qui atteignit son épanouissement entre 600 et 980 après Jésus-Christ.
        Lors d'une campagne de fouilles entre 1949 et 1952, l'archéologue Alberto Ruiz Lhuillier découvrit, sur la plate-forme du temple principal, un puits lui permettant d'accéder par un escalier, au coeur de la pyramide. Là, il se trouva en présence d'un extraordinaire ensemble de bas-reliefs sculptés, ornant un énorme et magnifique sarcophage qui abritait la dépouille d'un grand dignitaire maya, entouré de riches bijoux et de nombreuses offrandes.
        La dalle sculptée placée sur le tombeau, lourde de plusieurs tonnes mesure environ 3,80 m sur 2,20. A première vue, elle offre à la curiosité du visiteur, la représentation saisissante d'un cosmonaute aux commendes d'un vaisseau cosmique? Ce bas-relief aujourd'hui célèbre dans le monde entier est l'un des arguments les plus sollicités en faveur de la thèse de la venue sur terre de voyageurs cosmiques.

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